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lundi 3 septembre 2007

Mes références dictionnairiques personnelles

Mes références dictionnairiques personnelles sont au nombre de sept et ont toutes des rôles bien particuliers. Cinq sont papier et deux sont virtuelles. Tout d'abord, quand je me questionne sur la définition précise d'un mot, j'utilise Le Robert. Bien que les deux éditions que je possède proviennent de France Loisir, la cousine française de Québec Loisirs, elles me permettent de trouver réponse à mes questions. D'autant plus qu'une édition semble tenir compte de certaines particularités du Québec soit Le Robert Dictionnaire Québécois d'aujourd'hui. Pour avoir cherché dans Internet à son sujet, il semble que ce dernier ait été contesté lors de sa parution...

Le troisième ouvrage que j'utilise est à mon avis plus polyvalent. En effet, le Multidictionnaire de la langue française est un outil très versatile qui nous permet de trouver la nature d'un mot en passant par l'accord des participes passés employés seuls ou bien les règles d'utilisation des chiffres romains. Je possède cet ouvrage depuis quelques mois seulement et je l'ai ouvert plus souvent que l'ensemble des autres dictionnaires. Sa place n'est pas dans la bibliothèque avec les autres, mais sur mon bureau, prêt à être ouvert à tout moment. Je préfère ce dictionnaire, car il offre tout à portée de main.


Le quatrième ouvrage est celui que j'utilise le moins souvent. À vrai dire, je ne l'ai pas utilisé depuis plusieurs mois, si ce n'est que pour aplatir des feuilles de notes froissées, car c'est l'ouvrage le plus imposant de tous. Je crois que la raison pour laquelle je n'utilise plus ou presque plus le Robert Collins Senior est que depuis que je suis en enseignement du français au secondaire, je me concentre principalement sur la langue française, alors pourquoi utiliser un dictionnaire anglais-français? Il m'arrive de l'ouvrir à l'occasion pour savoir comment prononcer un mot, autant français qu'anglais, car les deux versions du Robert que je possède ne contiennent pas les transcriptions phonétiques.

Le dernier ouvrage papier que j'utilise est le plus récent. Il s'agit du Larousse étymologique et historique du français. Vous me trouverez probablement fou, mais j'ai eu ce dictionnaire cet été comme cadeau de fête (il était sur ma liste de suggestion). Je voulais avoir un tel dictionnaire pour pouvoir mieux expliquer les racines de certains mots et leurs origines. Dans une classe de français, il est toujours intéressant de savoir d'où proviennent certains mots et d'en connaitre l'équivalent latin ou autre. Lorsque je serai en avant d'une classe, je compte bien faire profiter mes élèves de ce genre de connaissances.

Comme dit plus haut, les deux derniers outils que j'utilise sont virtuels. Tout d'abord, le logiciel Antidote Rx est selon moi assez génial. En effet, en une fraction de seconde, il est possible de connaitre la définition d'un mot, les synonymes de ce dernier ainsi qu'une foule d'autres renseignements tels que les citations comprenant ce mot, les mots de même famille et ainsi que quelques points de grammaire, de syntaxe, de rédaction et autres. Ce logiciel offre aussi la possibilité de corriger un travail ou autre moyennant une certaine revision, car il n'est pas infaillible. Ensuite, le Grand dictionnaire terminologique de l'Office québécois de la langue française est le second outil virtuel que j'utilise. J'utilise surtout ce dernier pour démystifier certains mots ou «légendes urbaines linguistiques» telles que le pluriel de cheval. J'aime le Grand dictionnaire terminologique, car il permet de trouver des réponses à des questions actuelles comme les anglicismes ou les néologismes.

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